Sommaire complet
du 01 février 2018 - n° 749
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Finances locales
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Réglementation
Jean-Philippe Vaudrey
Maîtriser le code de déontologie des agents de police municipale
Appliquer la bonne sanction disciplinaire
Exécuter ses missions
Agréments et retrait d’agréments des agents de police municipale
Cumul d’activités et activités accessoires
Réagir face aux outrages, rébellions et refus d’obtempérer
La protection fonctionnelle des agents de police municipale
Annexe : le code de déontologie
Un précis concret, utile et unique répondant aux interrogations quotidiennes des agents de police municipale, conçu pour les guider en toutes circonstances.
1 ère édition - octobre 2019
74 pages – ISBN : 2-905529-72-5
24,80 € TTC port compris
Arrêt de la cour administrative d’appel de Lyon n° 16LY00192 du 17 octobre 2017.
La Lettre du Maire Rural n°438 du 12 décembre 2017
Vu la procédure suivante :
Procédure contentieuse antérieure
Mme C... D... a demandé au tribunal administratif de Grenoble de condamner la commune de La Côte-Saint-André à lui verser la somme de 207 600 euros en réparation des préjudices résultant pour elle du retard mis par le maire à mettre en œuvre les mesures provisoires prévues par son arrêté de péril imminent du 13 novembre 2006.
Par un jugement n° 1001641 du 17 juillet 2012, le tribunal administratif de Grenoble a rejeté cette demande.
Par une décision n° 363074 du 23 juillet 2014, le Conseil d’Etat statuant au contentieux a annulé ce jugement en tant qu’il statue sur les conclusions indemnitaires de Mme D... tendant à la réparation des désordres affectant l’immeuble lui appartenant ainsi que du préjudice moral subi par elle-même et par ses...
(Lien vers l'article de La Lettre du Maire Rural n°438 du 12 décembre 2017)
A La Côte-Saint-André (5 070 habitants, Isère), après un arrêté de péril pris en 2006 sur le fondement des articles
L. 511-1 et suivants du code de la construction et de l’habitation, le maire a constaté l’état de péril imminent d’un immeuble et mis en demeure son propriétaire de procéder aux travaux préconisés par un expert. Il a interdit la poursuite de travaux autres que confortatifs et l’accès par cet immeuble à la propriété voisine. Six mois plus tard, le maire a enjoint la propriétaire de l’immeuble mitoyen de quitter celui-ci en vue d’un relogement, en attendant la réalisation des travaux nécessaires. Ces travaux n’ayant pas été effectués, ceux-ci ont été réalisés d’office par la commune, mais plus de quatre ans après. La propriétaire, durablement privée de la jouissance de son...
non signé le 12 décembre 2017 - n°438 de La Lettre du Maire Rural