Sommaire complet
du 02 janvier 2012 - n° 615
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Finances locales
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Réglementation
Jean-Philippe Vaudrey
Maîtriser le code de déontologie des agents de police municipale
Appliquer la bonne sanction disciplinaire
Exécuter ses missions
Agréments et retrait d’agréments des agents de police municipale
Cumul d’activités et activités accessoires
Réagir face aux outrages, rébellions et refus d’obtempérer
La protection fonctionnelle des agents de police municipale
Annexe : le code de déontologie
Un précis concret, utile et unique répondant aux interrogations quotidiennes des agents de police municipale, conçu pour les guider en toutes circonstances.
1 ère édition - octobre 2019
74 pages – ISBN : 2-905529-72-5
24,80 € TTC port compris
Arrêt de la cour administrative d’appel de Nantes n° 09NT02645 du 28 janvier 2011
La Lettre du Maire Rural n°372 du 08 décembre 2011
Vu le recours enregistré le 24 novembre 2009, présenté par le MINISTRE D’ETAT, MINISTRE DE L’ECOLOGIE, DE L’ENERGIE, DU DEVELOPPEMENT DURABLE ET DE LA MER ; le MINISTRE D’ETAT, MINISTRE DE L’ECOLOGIE, DE L’ENERGIE, DU DEVELOPPEMENT DURABLE ET DE LA MER demande à la Cour :
1°) d’annuler le jugement n° 08-1013 du 25 septembre 2009 par lequel le Tribunal administratif d’Orléans a annulé, à la demande de la commune de Meung-sur-Loire, la décision du 12 février 2008 du préfet du Loiret refusant d’attribuer à cette commune une subvention pour l’aménagement d’une aire d’accueil des gens du voyage ;
2°) de rejeter la demande présentée par la commune de Meung-sur-Loire devant le Tribunal administratif d’Orléans ;
Vu les autres pièces du dossier...
(Lien vers l'article de La Lettre du Maire Rural n°372 du 08 décembre 2011)
Le préfet ne peut pas légalement justifier son refus d’attribuer à une commune la subvention de l’Etat pour l’aménagement d’une aire d’accueil des gens du voyage, par des considérations liées au choix du site pour son implantation. Ainsi, à Meung-sur-Loire (6 219 habitants, Loiret), le préfet a refusé de subventionner le projet d’aire de la commune au motif qu’elle ne pouvait pas être autorisée à l’endroit retenu, localisé en zone d’aléa moyen d’un plan de prévention des risques d’inondation (PPRI). La cour a jugé que le préfet ne pouvait pas subordonner cette subvention à la détermination préalable, par la commune, de la localisation d’un site d’implantation.
Arrêt de la cour administrative d’appel de Nantes n° 09NT02645 du 28 janvier...
Sylvie MARTIN le 08 décembre 2011 - n°372 de La Lettre du Maire Rural