Sommaire complet
du 02 juillet 2018 - n° 759
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Finances locales
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Réglementation
Jean-Philippe Vaudrey
Maîtriser le code de déontologie des agents de police municipale
Appliquer la bonne sanction disciplinaire
Exécuter ses missions
Agréments et retrait d’agréments des agents de police municipale
Cumul d’activités et activités accessoires
Réagir face aux outrages, rébellions et refus d’obtempérer
La protection fonctionnelle des agents de police municipale
Annexe : le code de déontologie
Un précis concret, utile et unique répondant aux interrogations quotidiennes des agents de police municipale, conçu pour les guider en toutes circonstances.
1 ère édition - octobre 2019
74 pages – ISBN : 2-905529-72-5
24,80 € TTC port compris
Arrêt de la cour administrative d’appel de Nancy n° 17NC01277 du 10 avril 2018.
La Lettre du Maire Rural n°443 du 09 mai 2018
Vu la procédure suivante :
Procédure contentieuse antérieure :
M. E... D... a demandé au tribunal administratif de Strasbourg, à titre principal, d’annuler le titre exécutoire émis à son encontre le 16 février 2015 par le maire de Rouffach en vue du recouvrement de la somme de 40 042,80 euros et, à titre subsidiaire, de ramener la somme due à un montant de 20 703,65 euros.
Par jugement n° 1501910 du 29 mars 2017, le tribunal administratif de Strasbourg a rejeté sa demande et a mis à sa charge le versement à la commune de Rouffach d’une somme de 1 000 euros au titre des frais exposés et non compris dans les dépens.
Procédure devant la cour :
Par une requête, enregistrée le 26 mai 2017, M. D..., représenté par Me C..., demande à la cour :
1°) d’annuler le jugement du 29 mars 2017 du tribunal administratif de Strasbourg...
(Lien vers l'article de La Lettre du Maire Rural n°443 du 09 mai 2018)
A Rouffach (4 770 habitants, Haut-Rhin), par un arrêté de péril imminent, le maire a demandé au propriétaire d’un immeuble menaçant de s’effondrer de prendre les mesures de sécurité nécessaires, en particulier la pose d’une structure extérieure. Puis, face à la carence du propriétaire, la commune a fait réaliser d’office les travaux de sécurisation prescrits. Elle a également pris en charge le relogement d’un voisin pendant les travaux. Le maire a ensuite réclamé au propriétaire une somme de 40 042 euros, correspondant aux dépenses engagées. En effet, la procédure de péril imminent, précisée à l’article L. 511-3 du code de la construction et de l’habitation, permet à la commune de se substituer aux propriétaires ou copropriétaires défaillants. Dans ce...
Sylvie MARTIN le 09 mai 2018 - n°443 de La Lettre du Maire Rural